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  • Photo du rédacteurJulie FRIOT

La déambulation photographique du mercredi #8

N'est pas Mme Irma qui veut.


C'est sans doute pour ça qu'en décembre 2019, persuadée de détenir LA bonne idée pour mes cadeaux de noël, j'ai décidé d'offrir à mes proches des présents immatériels qui leur laisseraient des souvenirs inoubliables : la visite des studios Harry Potter à Londres pour ma fille et un week-end dans une capitale européenne pour mes parents.

La bonne nouvelle, c'est que mes cadeaux de Noël 2019 n'ont que très temporairement grevé mon budget puisqu'ils m'ont été intégralement remboursés en mars 2020.

La mauvaise nouvelle, c'est que niveau souvenirs inoubliables, mes proches repasseront. Ils n'avaient sans doute pas dû être assez sages aux yeux du père Noël…


Presque 2 ans plus tard, la situation sanitaire au Royaume-Uni _ à l'instar de la coupe de cheveux de Boris Johnson _, ne s'est pas franchement améliorée.

Ma fille, dont la maturité n'a d'égale que l'immaturité de sa mère, m'a donc sagement proposé de transformer notre projet londonien de départ, en week-end parisien.

Le 3ème étage de la tour Eiffel en ascenseur en lieu et place des studios Harry Potter.

L'entrecôte-frites plutôt que le fish and chips.

La grisaille parisienne plutôt que le brouillard londonien.

Bref, vous avez compris.


Nous voilà donc à Paris en décembre 2021 pour profiter du cadeau de Noël 2019.

Bel apprentissage de la patience pour une enfant de 9 ans (enfin 11 maintenant) ! 2 ans d'attente pour profiter d'un cadeau, je crois qu'on tient un record...


Avec mon amie C. et ma fille L. nous avons donc, 3 jours durant, arpenté le pavé parisien en long, en large et en travers aussi.

C., fidèle à son humour caustique, n'a pas manqué de m'appeler Depardon à chaque fois que je m'arrêtais prendre une photo et a pris un malin plaisir à me montrer toutes les flaques d'eau sur notre route, connaissant ma passion pour les reflets.

Pour être en accord niveau droits d'auteur, je suis d'ailleurs dans l'obligation de signaler que C. s'octroie en partie la paternité de la photo de la pyramide du Louvre et de son reflet car c'est elle qui a vu la flaque en premier.

Bizarrement, après 72 heures d'affilée avec L., elle ne réclame aucun droit parental concernant l'enfant.


Le contexte étant posé, ce sera donc une déambulation photographique du mercredi entièrement parisienne que je vous propose pour cette 8ème édition !








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